Quand TURBO se lance dans le horror vacui, ça donne de jolies choses.
J'aime bien la façon dont toute la surface picturale est occupée, à l'exception d'un petit triangle au tout premier plan, triangle faisant office d'antichambre de pénétration.
Diagonales, horizontales et verticales s'entremêlent en un réseau touffu donnant à chacun de ces objets du quotidien un aspect monumental. On se sent un peu comme Alice, face à des immensités.
La douceur de la lumière et le sépia me plaisent.
Ez